Nouveau regard

« (…) Le partage s’explique fort bien. Les formes simples sont le fait de tous les potiers de tous les villages : elles se différencient seulement par l’habileté manuelle de chaque artisan ; elles évoluent toutes parallèlement. Les formes complexes ont été l’apanage exclusif d’un petit groupe ajoutant à sa production courante, identique à celle des autres potiers, une production spécialisée. (…) Ces pièces ne se situent pas «en marge», comme on l’a écrit, d’une production utilitaire courante ; elles en sont le complément normal qui fait du potier le premier fournisseur de l’existence quotidienne. (…) »

Extrait des Cahiers de la céramique, du verre et des arts du feu, n°29, « Grès et Art populaire en Haut-Berry », Jean Favière, 1963.

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